Ton dernier câlin ? Hier matin avant de partir sur la route. Avec Lola [son amoureuse, ndlr]. C’est incroyable de rencontrer une personne avec qui le énième câlin est toujours aussi délicieux…
C’était donc un câlin d’amour… Je ne fais que des câlins d’amour. Je ne suis pas très tactile, juste en amour.
Tu câlines quand tu es ivre ? Je fais très attention parce que j’étais très bagarreur quand j’étais plus jeune. L’alcool m’inspire plus la bagarre que le câlin.
Une chanson qui te donne envie de câlins ? L’amour et la violence, de Sébastien Tellier.
Un plat qui appelle le câlin ? Les fraises.
« J’voulais juste un câlin et voyager en première » entendu sur J’attends en bas, pourquoi ? Mes seules aspirations dans la vie. Hier j’ai eu un câlin, aujourd’hui j’ai voyagé en première, je suis très content, la vie est belle.
Le plus beau câlin de cinéma ? C’est dur parce que je suis ultra spécialiste de comédies romantiques, mais genre… ultra, ultra. J’ai vu toutes les comédies romantiques de l’univers, même celles qu’on ne peut pas regarder. J’ai vu In Your Eyes, je dois être le seul… Tout le monde se moque de moi parce que je regarde des trucs horribles. Tous les câlins de cinéma me font du bien, ils me font pleurer.
Les câlins, c’est l’avenir ? C’est l’amour. L’amour, c’est la seule chose qui ait un intérêt. C’est le moteur de tellement de choses : le moteur de toutes les grandes oeuvres, de toutes les grandes conquêtes. La légende dit que Gustave Eiffel a fait la tour Eiffel en forme de A, parce qu’il kiffait une Amélie. Tout ce que je fais, c’est par amour.
Le Strasbourgeois prolixe Cyril Bonin est parti à La Poursuite du bonheur avec une adaptation du roman de Douglas Kennedy. Sa BD est une plongée au cœur des USA de l’après-guerre sur cruel fond de maccarthysme. Sara, femme résolument libre, fait partie des figures anticonventionnelles à jeter au bûcher.
L’année 2025 s’annonce émancipatrice et résiliente sous l’égide de la 6e édition du festival L’année commence avec elles, du 14 au 19 janvier à POLE-SUD.
Le festival qui ouvre grand les yeux et les oreilles des enfants est de retour à Kingersheim du 30 janvier au 9 février, avec une trentaine de spectacles régionaux mais aussi nationaux et internationaux pour tous âges.
Pauline Ringeade met en scène Claire Rappin pour un seule en scène qui fait grand bruit, les 23 et 24 janvier 2025 à la Comédie de Colmar, et du 28 au 31 janvier 2025 au TAPS.
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