La douzième édition de Wolfi Jazz débute le 22 juin au Fort Kléber, pour cinq jours de musique entre pop, soul et blues.
C’est traditionnellement l’un des premiers festivals de l’été en Alsace. Wolfi Jazz se tiendra, du 22 au 26 juin, au Fort Kléber à Wolfisheim.
Cette 12e édition ne sera pas dénuée de têtes d’affiches. À commencer par Kimberose, sensation pop et soul de l’Hexagone révélée via La nouvelle star, qui ouvrira les festivités sur la scène de l’Esplanade. Le lendemain, ce sera au tour de l’Américaine Melody Gardot [concert complet] qui n’hésite pas à s’aventurer, avec sa voix de velours, sur les sentiers de la pop mais aussi de la bossa. Son dernier album Sunset in the blue, enregistré entre deux confinements, l’entraîne vers ses premiers amours : aux racines du jazz avec quelques reprises et des duos aux côtés de Sting et António Zambujo. La chanteuse au prénom prédestiné partage l’affiche avec le violoniste de jazz manouche Florin Niculescu, disciple de Stéphane Grappelli et de Django Reinhardt. Autre monument à ne pas manquer au Fort Kléber : Popa Chubby qui fête ses 30 ans de carrière. L’occasion de constater que le temps ne semble guère avoir d’emprise sur cet apôtre du blues-rock à la sauce texane.
Dernière addition à la programmation, Diry Deep ouvrira la soirée du vendredi. Ce groupe du bayou alsacien nous embarque vers le Mississippi, au rythme d’un blues qui va puiser dans les origines de la musique et des worksongs. Le Wolfi Jazz propose à la fois des concerts payants et des soirées gratuites. Celles-ci se dérouleront le week-end du 25 juin sur la scène des Douves et convieront, dans un premier temps, le tromboniste Daniel Zimmermann ainsi que Fuz 4tet, quatuor emmené par la violoniste ukrainienne Yuliia Vydovska. Enfin, le tonique quintet parisien Panam Panic, fondé par le pianiste Robin Notte, et la fanfare Ceux Qui Marchent Debout, se chargeront de clore cette 12e édition au son du groove.
Wolfi Jazz, du 22 au 26 juin au Fort Kléber à Wolfisheim.
Par Fabrice Voné
Photos Patrick Lambin
En 1878, Émile Gallé produit son chef-d’oeuvre "Le Vase à la Carpe", devenu emblématique des collections du Musée du verre de Meisenthal et la pièce maîtresse de l’exposition "Muette, la carpe ?" jusqu'au 30 décembre.
Il a commencé par envoyer ses « opérateurs » sillonner l’Alsace avant d’organiser des missions photographiques aux quatre coins du monde. La Bnu expose une partie des archives d’Albert Kahn jusqu'au 6 janvier 2025.
Marlene Dietrich est la figure (forte) de cette 20e édition du festival de cinéma germanophone Augenblick, plus que jamais engagé : du 5 au 22 novembre, à Strasbourg, partout en Alsace et à Nancy, Sarreguemines et Metz.
Normalement, le GPS vous y emmènera sans problème, mais si besoin, n’hésitez pas à me passer un petit de coup de fil… enfin s’il y a du réseau. » Où allons-nous ? Dans la pampa du 57, chez Olivier Chapelet, directeur du Théâtre actuel et public de Strasbourg (TAPS).
